Byzance, avant sa chute !
Le Parti Populaire est consterné par le triste spectacle qu’offre la classe politique belge, 40 jours après les élections.
Les entreprises ferment, les entrepreneurs ou simples citoyens quittent le pays chaque jour. Ceux qui ne peuvent partir, constatent amèrement le déclin inexorable de notre pays et sombrent dans la désespérance (ou le cynisme). Le football ne pourra plus faire illusion longtemps pour masquer la dure réalité !
Un califat islamo-fasciste s’installe en Syrie et en Irak dont la cinquième colonne est déjà présente en Europe et en Belgique sous la forme de djihadistes de retour chez nous. Ils font courir un danger mortel à nos démocraties et à ses citoyens. L’absence de mesures d’éloignement est une faute politique et sécuritaire majeure.
Et entretemps, nos hommes et femmes politiques discutent du sexe des anges particratiques et commmunautaires, comme Byzance avant sa chute !
La sclérose, côté francophone, est totale. le renouvellement de la classe politique est rendu quasi impossible en raison d’un système de vote mais aussi médiatique totalement verrouillé. Les élections sont dignes du Togo quant à leur fiabilité et les recours introduits jugés en 10 minutes par les élus frappés d’un évident conflit d’intérêts.
La défiance est en outre totale entre tous les acteurs politiques de cette mauvaise pièce, usés par le temps car ils ont déjà joué tous les rôles du répertoire. Plus personne n’a confiance en qui que ce soit.
Il est édifiant de constater qu’il est de plus en plus difficile de mettre sur pied une coalition sur base du seul critère valable dans un pays démocratique : un projet politique commun et cohérent et une majorité parlementaire convaincue pour le mener à bien.
On installe dans l’intervalle un Sénat coûteux et inutile, réservé de fait aux quatre partis traditionnels, mais dont personne ne sait très bien à quoi il pourrait encore servir, si ce n’est à alimenter les caisses de ces partis et caser les copains recalés.
Enfin dernier détail révélateur de l’attitude ubuesque de cette classe politique déconnectée et aux petits calculs partisans, M Michel n’hésite pas à inviter lors de ses contacts le FDF (positionné à gauche) et avec lequel il est en procès (représentant deux députés fédéraux et 120.000 voix). Mais il ne consulte pas le PP (un député fédéral et 105.000 voix), positionné à droite et surtout le plus en phase, côté francophone, avec les réformes indispensables réclamées par la NVA, le CDV et le VLD, ainsi que…la base du MR. Cherchez l’erreur ! N’est pas homme d’état qui veut !
Communiqué du PP : « Ne lachez rien M De Wever ! »
Le Parti populaire a pris connaissance de la note de M De Wever en vue de la formation d’un gouvernement fédéral.
Les propositions et pistes formulées apparaissent comme une base des plus sérieuses pour redresser la Belgique.
Elles passent par une réduction de la fiscalité, du coût du travail et des dépenses publiques.
Une très large partie du programme socio-économique du PP s’y retrouve d’ailleurs, de même qu’en matière de sécurité, de justice ou d’immigration.
Il y a longtemps que de telles réformes en profondeur n’ont plus été mises sur la table d’un projet gouvernemental.
Le PP invite dès lors M De Wever à persévérer en vue de former une coalition fédérale, la plus homogène possible, sur base de cette note et à ne plus perdre son temps avec des partis inaptes à prendre des mesures courageuses et nécessaires.
Il est manifeste qu’une telle coalition devrait s’articuler autour de la N-VA, du CD&V, de l’Open VLD et du MR. Le PP est disponible pour participer à une telle coalition, comme second parti francophone, représentant le vote de 110.000 électeurs Wallons et Bruxellois qui souhaitent ardemment une Belgique renouvelée à même d’assurer l’avenir de leurs enfants.
Arrestation de Mehdi Nemmouche : stop au laxisme, menons une politique ferme !
Le Parti Populaire a pris connaissance de l’arrestation de Mehdi Nemmouche dans le cadre de l’attentat terroriste et antisémite ayant eu lieu à Bruxelles le 24 mai 2014.
Selon le procureur fédéral, Mehdi Nemmouche avait rejoint, en 2013, les combattants en Syrie. La kalachnikov retrouvée en sa possession était enveloppée dans un drapeau aux couleurs de l’ « Armée islamique au Levant », groupe prônant le djihad.
Depuis des mois, le Parti Populaire dénonce la présence de djihadistes belges en Syrie et s’inquiétait de leur retour en Europe et en Belgique. Le PP a toujours estimé que ces individus devaient être déchus de leur nationalité et expulsés du pays. Ils n’y ont pas leur place !
Le Parti Populaire tient aujourd’hui pour responsable les ministres de l’Intérieur de l’Union européenne pour leur approche laxiste alors qu’une menace terroriste planait sur toute l’Europe. Cette menace a, une nouvelle fois, été mise à exécution.
Les autorités n’ont visiblement pas retenu les leçons de l’affaire-Merah qui avait secoué la France en mars 2012 en faisant sept morts et six blessés dans des tueries inspirées par l’islamisme radical à Toulouse et à Montauban.
L’Europe actuelle est une passoire et laisse germer en son sein des cellules islamistes.
Ce ne sont pas des mesures d’assistance sociale qu’il faut prendre envers les djihadistes, mais des mesures fermes de déchéance de la nationalité et d’expulsion du pays.
Modrikamen met en doute certains résultats (La Libre)
« On parle d’une percée du PTB, mais elle est comparable pour le PP », a affirmé M. Modrikamen au cours d’une conférence de presse, soulignant notamment les quelque 105.000 voix décrochées par les listes de son parti à la Chambre, pour près de 133.000 voix au PTB-GO.
Lire l’article de La Libre
Le Parti Populaire obtient un élu fédéral et un élu régional !
Le Parti Populaire a analysé les résultats des élections régionale, fédérale et européenne de ce 25 mai 2014. Ceux-ci sont quasi complets. Le PP a légitimement attendu d’avoir des résultats quasi définitifs avant de communiquer son analyse !
Le Parti Populaire se réjouit de pouvoir compter en ses rangs deux élus directs acquis de dure lutte, un au fédéral à Liège en la personne d’Aldo Carcaci, et un au régional, toujours à Liège, en la personne d’André-Pierre Puget.
Aldo Carcaci fut secrétaire national de deux organisations mutualistes au sein de l’Union nationale des Mutualités socialistes : la Fédération francophone des Handicapés et la Fédération des Pensionnés mutualistes. Aldo Carcaci a également été directeur commercial chez Telindus pour la Wallonie-Bruxelles et CEO de Base Technologies Africa en Côte d’Ivoire. Il fut conseiller communal PS à Saint Georges sur Meuse, président du CPAS, échevin des affaires sociales et conseiller provincial. Il s’est également impliqué dans le monde du football en reprenant le RFC Serésien dont il a été le secrétaire général et plus récemment à l’UR Namur dont il a été le président.
André-Pierre Puget est issu du monde agricole. Il a également été le Secrétaire général de Federauto Wallonie-Bruxelles Capitale avant de créer la première société wallonne active dans le domaine de la recharge pour véhicules électriques. Fort d’une expérience d’employé et d’indépendant dans divers secteurs et à divers niveaux de décisions, il entend mener une rupture dans un combat politique régional qui s’essouffle et qui ne se préoccupe guère des citoyens. Pour lui, la Wallonie doit renouer avec ses citoyens et Liège doit redevenir la cité ardente où chaque individu a sa place!
La présence de nos deux représentants dans ces Parlements permettra au Parti Populaire de bénéficier d’une visibilité et d’une force de frappe. La dotation publique qui y est liée permettra de développer le parti et de bénéficier des supports adéquats.
Le Parti Populaire a obtenu 104.214 voix, en progression par rapport aux dernières élections. Le PTB-GO, qui a eu un accès médiatique sans commune mesure, a obtenu 132.295 voix, soit 30.000 de plus seulement que le Parti Populaire.
A l’Europe, où se présentait Luc Trullemans, le Parti Populaire a obtenu 145.538 voix, contre 133.472 au PTB-GO.
Le Parti Populaire remercie les électeurs qui lui ont accordé leur confiance ainsi que ses militants qui ont fait preuve d’un extraordinaire et énergique dévouement durant cette campagne.
Le Parti Populaire note une progression et une implantation dans les circonscriptions de Verviers (7,34 %), de Charleroi (6,37 %), de Thuin (5,37 %) et de Liège (5,24 %).
Le Parti Populaire regrette bien sur que son président Mischaël Modrikamen qui a pourtant obtenu suffisamment de voix pour faire un siège avec près de 32.000 voix dans le Hainaut, se voit néanmoins refuser l’entrée au parlement fédéral en raison du seuil antidémocratique de 5 % imposé par les partis traditionnels depuis 1992. Les autres partis (PS, MR, …) ont en effet obtenu un siège avec environ 30.000 voix seulement dans le Hainaut !
Les résultats dans la circonscription de Bruxelles se sont quant à eux montrés décevants !
L’heure est aujourd’hui au bilan. Avec un positionnement en rupture avec le système politique actuel mais sans complaisance pour les extrêmes, le Parti Populaire a dû subir les injures des représentants des partis au pouvoir et des bâtons dans les roues (en termes d’espace sur les panneaux électoraux notamment), mais également une campagne massive de surcollage et de dénigrement de la part de groupuscules, de gauche comme de droite.
Le Parti Populaire a dû faire face à de nombreuses difficultés tout au long de la campagne électorale. Mischaël Modrikamen, Luc Trullemans et, plus généralement le parti furent systématiquement boycottés par RTL-TVi, ce qui fut reconnu par des journalistes de la station. Le PP a eu un accès très limité à la RTBF dont le dispositif électoral fait encore la part trop belle aux partis traditionnels et au PTB.
Les résultats électoraux du PP n’en sont que plus appréciables.
Doté de deux élus, le Parti Populaire espère désormais recevoir, de la part, un traitement médiatique digne d’une démocratie du 21ème siècle.
Le Parti Populaire est disposé à appuyer toute majorité qui aura le courage de mener les réformes indispensables au redressement du Pays et sinon appliquera une politique d’opposition ferme mais constructive.
Une conférence de presse aura lieu ce mercredi à 14 heures au siège du parti, avenue du Houx 42 à 1170 Watermael-Boitsfort.
Rebattons la campagne sur l’immigration avec Mischaël Modrikamen
Le président du Parti Populaire Mischaël Modrikamen était l’invité de la RTBF pour un débat sur l’immigration.
Revivre le débat de la RTBF
Revivez le débat Modrikamen vs Marghem sur No Tele
Le président du Parti Populaire Mischaël Modrikamen étéiat opposé à Marie-Christine Marghem sur No Tele, l’occasion pour lui de rappeler le pillage des idées du PP par le MR.
Revivez le débat de No Tele
« L’immobilisme est le premier argument des séparatistes ! » (Mischaël Modrikamen sur La Libre.be)
« Ce sera la Flandre qui déterminera les forces en présence au fédéral. Si les Flamands veulent un gouvernement de centre-droit, ils seront ravis de trouver des partenaires francophones qui ont la même vision socio-économique qu’eux. Nos partenaires ? C’est le MR… quoi qu’il en dise. Peut-être le cdH, à voir… Ils n’auront pas le choix si cela s’impose mathématiquement et si c’est la volonté des Flamands. »
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Le PP joue la carte de la rupture radicale. Portrait d’Anne-Dorothy de Jamblinne (L’Avenir)
«Sans véritable ambition politique au départ, j’ai adhéré aux valeurs du PP suite à un ras-le-bol personnel vis-à-vis de la politique actuelle. Quand ça ne va pas, mon tempérament me pousse à chercher des solutions et j’ai eu envie de me battre pour les citoyens».
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Un ex-socialiste tête de liste PP (La Gazette de Liège)
Le PP vise le gain de trois sièges à Liège, un au fédéral, un régional à Verviers et l’autre à Liège. Mais en bastion rouge, les choses ne sont pas gagnées. “C’est effectivement rouge de rouge mais on se rend compte que la population en a marre. Elle veut que les choses changent. Le PS est au pouvoir depuis 30 ans et ses remèdes ne fonctionnent pas.”
Lire l’article de la Gazette de Liège
Lire l’article de la Gazette de Liège (suite)
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